Fatigue, fatigue

Une étude américaine publiée dans la revue « Applied Ergonomics » a signalé que l’utilisation des tablettes tactiles est à limiter dans la chambre à coucher.

La raison ? La lumière bleue émise par les écrans qui perturbe sensiblement l’hormone clé du sommeil, la mélatonine. Sa fabrication, produite en réponse à l’obscurité, peut être interrompue par la lumière bleue. Ce type de rayonnement est émis par les diodes électroluminescentes (LED) qui sont utilisées pour le rétroéclairage de nombreux appareils numériques tels que les iPad et autres tablettes.

C’est la première fois que des chercheurs ont analysé l’influence de l’utilisation des tablettes sur la production de mélatonine. Une dizaine de personnes, majoritairement des adolescents, ont joué, lu ou regardé des vidéos sur une tablette rétro-éclairée dans l’obscurité. La quantité de lumière bleue émise était différente selon le type d’activité. Au bout de deux heures d’exposition à cette lumière, 22 % de mélatonine ont été supprimés chez ces sujets.

Encore le changement d’heure

Et oui, ça fait déjà quelques jours (ou quelques nuits) que nous avons changé d’heure et poussé un soupir de soulagement en comptant une heure de sommeil en plus. Certains, évidemment, ont râlé de rentrer du travail avec la nuit, et ça se comprend, on s’était habitués à l’été indien et aux douces soirées dehors.

Bon, il n’en reste pas moins que cette fichue heure qui se trimballe en plus ou en moins (et ce depuis 1973) nous rend patraques. Et oui, selon les spécialistes du sommeil, c’est une « chrono rupture »: tout changement de rythme perturbe l’équilibre circadien engendrant des insomnies, une grosse fatigue, une perte d’appétit et pas mal de stress.

Pour les plus sensibles, il faut quelquefois de dix jours à deux semaines pour se recaler. Les plus touchés seraient les enfants et les personnes âgées (70 ans et plus). Ceux-ci subissent un léger « retard de phase« , c’est-à-dire un décalage de leur heure de coucher et de lever, ce qui peut générer, entre autres, une plus grande irritabilité.

Qu’est-ce que l’Atlas Balancing ?

La méthode de rééquilibrage de l’atlas, développée par Elisabeth U. Westermann, aide le corps de l’homme à retrouver le chemin de l’équilibre.

Dès la naissance, la première vertèbre cervicale (l’atlas) ne se trouve pas dans la bonne position ni chez l’homme ni chez l’animal, ce qui la rend très instable et sensible à un déplacement supplémentaire qui peut être provoqué par un accident ou une chute. Ce qui, de fait, peut entraîner un affaiblissement de l’organisme.

Le rééquilibrage de l’atlas se fait principalement à l’aide de codes sonores (provenant de très anciennes méthodes de soins du nord de l’Inde et aussi d’anciennes traditions) et d’ accompagnement par le mouvement, pour relancer la circulation de l’énergie.