A quels moments vous arrive-t-il de ne rien faire de votre cerveau? Sur Facebook ? Devant les émissions de télé-réalité ? En lisant un magasine people ? Euh…jamais ? Et oui, vous ne perdez plus une seconde. Mais votre cerveau, lui, a besoin de perdre du temps.
En effet, les temps de pause du cerveau sont essentiels pour que ce dernier puisse ingérer les informations, les installer et s’en souvenir.
Le New York Times rapporte les travaux de chercheurs californiens qui soulignent que lorsque l’influx d’informations venant de nouvelles technologies est continu, le cerveau a du mal à tout retenir.
La mémoire
Selon ces chercheurs, quand les rats sont soumis à de nouvelles expériences, leur cerveau a recours à un nouveau schéma d’activité. Mais ces nouveaux schémas ne sont réellement intégrés que lorsque les rats arrêtent toute exploration. Les scientifiques estiment que ces observations sont valables pour les humains. Sans le temps de repos, les souvenirs n’ont pas le temps de s’installer sur le long terme. C’est la mémoire à court terme qui fonctionne. C’est tout.
Le vieillissement du cerveau
Chez de nombreuses personnes, le vieillissement cérébral se traduit par une atteinte progressive des fonctions cognitives : mémoire, attention, langage, calcul, orientation… Environ 1 personne sur 5 est atteinte de troubles cognitifs légers après 65 ans.
Cette association de troubles a pour conséquences une baisse progressive de la motivation et du plaisir à faire les choses et l’apparition de troubles de l’humeur comme le repli sur soi, le désintérêt pour l’environnement humain, l’exagération de certains traits de caractère, et une forte désocialisation.
La démence, elle, atteint 18 % des personnes de 75 ans et plus. Ces atteintes cognitives sont souvent intriquées avec une symptomatologie dépressive.
Le vieillissement cérébral humain est souvent accompagné de modifications morphologiques et physiologiques importantes, avec une diminution sensible, mais très variable selon les individus, des performances intellectuelles. La difficulté est de déterminer ce qui revient au vieillissement normal par rapport à ce qui est généré par des maladies neuro-dégénératives en cours de développement.
Les effets négatifs de l’âge sont très variables selon les individus. Dès que la mémoire est touchée, dès que l’on ne retrouve plus le nom d’une personne que l’on connaît pourtant bien, on parle immédiatement de maladie d’Alzheimer qui s’installe. Ceci relève, même sous forme de plaisanterie, (de plus ou moins bon goût), d’une croyance bien ancrée, même dans le milieu scientifique, qui consiste à penser que la perte des fonctions cognitives, et en particulier des fonctions mnésiques, est inévitablement due à un processus d’ « alzheimerisation ».
Quelques plantes
–Riche en flavonoïdes, l’extrait de feuilles de ginkgo est un puissant antioxydant. Véritable traitement du vieillissement cérébral, le Ginkgo Biloba améliore la mémoire, la vigilance et l’humeur.
-Stimulant, revitalisant, et par son effet harmonisateur, le ginseng semble être le produit typique pour le bienêtre des personnes âgées. Son efficacité a été démontrée auprès des personnes du 3ème âge par de brillants gérontologues :
*amélioration de la performance physique et psychologique
*régulation de la pression sanguine et de la glycémie
*troubles du sommeil
*résistance au stress
*action sur la dépression
De réelles améliorations ont été observées concernant la mémoire, les maux de tête, vertiges, coordination mentale, et surtout l’énergie vitale.
-La Petite Pervenche favorise et améliore la circulation sanguine artérielle et capillaire cérébrale. Elle permet de lutter contre le vieillissement en général et la sénescence en particulier.
On peut aussi prendre du jus de Noni, de la gelée royale, du thé vert, du sélénium…