Dans son dernier livre, « Mourir de dire : la honte », aux éditions Odile Jacob, Boris Cyrulnik, neuropsychiatre et psychanalyste, réfléchit au sentiment de honte. « Chacun de nous, dit-il, a connu la honte, que ce soit deux heures ou vingt ans ».
De la petite enfance à l’adolescence, il analyse ce sentiment qui vient entraver, freiner, parfois paralyser notre croissance, au sens de maturité et confiance en soi. La honte vient du regard de l’autre. Dans tous les sens du terme. Et de son sourire, de son « air », de ses remarques, de son comportement vis-à-vis de nous.
L’enfer, on le sait, c’est les autres. Et la honte, comme le dit Cyrulnic, est dans notre rapport à l’autre.
Dans certaines civilisations, le déshonneur ne peut se laver que par le sang.
Au Japon, une situation de honte extrême se termine par un suicide par éventration. Une incision dans l’abdomen ou « Seppuku » est très significative car le ventre est le lieu de la colère, du courage et de la franchise. Et mourir ainsi permet de retrouver sa dignité.
Dans le nouveau testament, on lit dans les Actes des Apôtres, on lit dans Actes4,32-5,11 dans un texte qui parle de la vente et du partage des biens qu’Ananias et sa femme Saphira, gardèrent pour eux une partie du fruit de la vente. Pierre l’invectiva et lui reprocha son manquement et ui dit ce n’est pas aux homme s que tu as menti, c’est à Dieu. Quand il entendit ces mots Ananias tomba aux pieds de Pierre et expira. Saphira arive peu après et Pierre comment avez-vous pu vos mettre d’accord pour provoqueqr l’Esprit du Siegneur ? Saphira tomba aux pieds de Pierre et expira.
Personnellement j’interprète que Ananias et Saphira sont morts de honte, et je recherche des exemples dsns l’histoire de humanité et dans la littérature. Connaissez-vous d’autres exemples de personnes qui soient mortes de honte pas au sens symbolique (peerte de sa dignité) ni dans un sens suicidaire COMME les japonais qui font hara-kiri, ni comme Cyrulnik qui parle de la mort de dire la honte mais comme Ananias et Saphira je dirais par un effet psychologique, « psycho-somatique, comme on peut mourir de frayeur, ou sans mourir avoir un stress post-traumatique.Merci pour votre aide, Rémy mdp