Le kombu est une algue marine de couleur brun foncé qui peut atteindre une longueur de quelques mètres. Ce « légume de mer » pousse à l’état sauvage sur les côtes de l’Atlantique et du Pacifique. Il est aussi cultivé dans des fermes côtières au Japon.
Utilisée comme un légume, cette algue se retrouve dans les soupes, les plats en sauce, les sashimis, certains condiments et assaisonnements.
Les premières utilisations du kombu remontent à 737 av. J.-C. Les archéologues pensent même que cette algue était consommée bien avant, mais il est difficile de trouver des traces dans les fouilles archéologiques.
Le kombu permet d’isoler les métaux lourds et les substances radioactives dans le corps pour ensuite les éliminer. Il détoxifie notre organisme en profondeur. Il contient des acides aminés, dont le Laminin, qui combat efficacement l’hypertension artérielle.
Cette algue prévient les cancers et les maladies cardio-vasculaires. Elle participe à la dissolution des dépôts graisseux dans le système cardio-vasculaire qui conduisent à des maladies cardiaques. Elle soulage également la tension dans les vaisseaux sanguins causés par la surconsommation de sel de table.
Le kombu facilite le passage à la ménopause. Ils constituent une riche source de vitamines liposolubles D et K qui aident à la production des hormones stéroïdiennes comme l’oestrogène et la DHEA dans les glandes surrénales. Ces éléments jouent un rôle clé dans le renforcement de la production d’hormones lorsque la production d’oestrogène ralentit pendant la ménopause. La vitamine K augmente en particulier l’activité des surrénales et son ingestion peut aider à maintenir l’équilibre hormonal féminin.
Cette algue permet d’accélérer le métabolisme et de brûler les graisses. Peu calorique, elle est bénéfique dans la perte de poids.
Le kombu est surtout vendu sous forme déshydratée, en lamelles, en flocons ou en poudre. Il se conserve très bien pendant des mois, sinon plus, à l’abri de la lumière et de l’humidité.
(Sources: suite101.fr/alguonat.com)