Du grec : aêr : air, et bios : vie, c’est un qualificatif caractérisant les microbes ayant besoin de la présence d’oxygène (contenu dans l’air) pour vivre et se multiplier.
Le contraire d’aérobie est anaérobie.
Le terme d’aérobie caractérise également le fonctionnement (métabolisme) d’autres composants vivants qui nécessitent de l’oxygène.
L’exemple le plus courant est celui du processus musculaire, processus aérobie qui se déclenche environ trois minutes après le début de l’exercice et qui peut durer longtemps à condition que les cellules soient convenablement approvisionnées en oxygène.
L’aérobie est un effort soutenu dans le temps. Courir, nager, faire du vélo sont quelques exemples classiques d’effort aérobique. La fréquence cardiaque au cours d’une activité aérobique ne peut se rapprocher de la fréquence cardiaque maximum, sinon cela provoquerait un effort anaérobique qui entraînerait alors une production excessive d’acide lactique et il serait alors impossible de soutenir l’effort à long terme.
En maintenant la fréquence cardiaque entre 60 et 70% de la fréquence cardiaque maximum pendant plus de 20 minutes, nous pratiquons une activité spécifique pour brûler des graisses. Il est très important de pouvoir conserver la même intensité sans intervalles pendant l’activité. Les muscles sont sollicités puis entraînés pour soutenir cette sollicitation à long terme.
L’activité aérobique améliore, augmente et élève le métabolisme aérobique.
(Sources: vulgaris-medical.com/ somatolinecosmetic.fr)